Bonheur, rien que du bonheur…

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J’ai hésité, tergiversé…

Fini par succomber à la tradition!

Non je ne vous vends pas un brin de muguet ou Lys dans la vallée..

Je vous l’offre..

Un beau brin de bonheur ne peut nuire non?

28-Avril-2012-2876.JPG

Si vous vous demandez d’où vient cette tradition d’échange du 1° mai.

Je laisse aux syndicats ainsi qu’aux hommes politiques le soin de vous expliquer le reste…

Sourire…

Bonne journée…

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49 commentaires
  1. Ah du muguet, c’est mimi les tentations, en plus ça sent si beau, c’est esthétique, non, vraiment, t’as bein fait ma Sylvie, joyeux 1er Mai à toi aussi ma blondinette!

    Bisous bisous

    Stefxx

  2. Tiens, ça rejoint le ton de mon billet… Je ne suis pas muguet et pourtant, cette année, j’ai sacrifié à la tradition ! Bises et bon premier mai !

  3. Merci Sylvie pour ce joli brin de muguet, plein de bonheur à toi aussi et voici l’histoire du 1er mai :

    HISTOIRE DU 1er MAI

     

    C’est le 1er mai 1561 que Charles IX aurait instauré la tradition d’offrir un brin de muguet en guise de porte-bonheur. La coutume est d’offrir 3 brins de muguet à ses proches et collègues de travail en signe d’amitié.

    Cette fleur symbole d’amitié, est aujourd’hui associée à la “fête du travail”.

    Les origines de cette journée se sont inscrites parmi les moments les plus tragiques de l’histoire.

    A la fin du 19è siècle, les cadences de travail imposées par la révolution industrielles épuisent les ouvriers. Il n’est pas rare de mourir au travail. Les grèves et manifestations s’organisent alors pour revendiquer de nouveaux droits pour les travailleurs. Le 1er Mai 1886, une forte pression syndicale permet à environ deux cent mille salariés américains d’obtenir la journée de huit heures. Le 3 Mai, une grande manifestation fait trois morts à la suite de violents affrontements avec les forces de l’ordre. En France, dès 1890, les manifestants ont pris l’habitude de défiler avec à la boutonnière un triangle rouge, qui symbolise la division du travail en trois temps : 8 heures de travail, 8 heures de loisirs et 8 heures de repos. Le 1er Mai 1891, une manifestation pacifique se rend en cortège à la mairie de la ville de Fourmies (Nord). La troupe chargée d’assurer la sécurité se met à tirer à bout portant sur les ouvriers. Parmi les morts, huit victimes ont moins de vingt et un ans. Certains sont jetés en prison pour “faits de grève”. Cette journée deviendra emblématique de la lutte ouvrière. L’une des victimes, l’ouvrière Marie Blondeau, habillée de blanc et les bras couverts de fleurs, restera l’un des symboles de cette journée. Le 25 Avril 1919, la loi rend obligatoire la journée de huit heures. C’est le Front Populaire de 1936, qui légalise les accords pour la semaine de quarante heures de travail. En 1941, pour rallier les ouvriers à sa cause, le gouvernement de Vichy désigne le 1er Mai comme la Fête du Travail et de la Concorde Sociale : cette journée est alors déclarée chômée. En Avril 1947, le gouvernement issu de la Libération déclare le 1er Mai chômé et payé. Il n’en fait pas pour autant une fête légale et ne le désigne pas officiellement comme fête du travail.

    La loi n° 73-4 du 2 janvier 1973 relative au Code du travail dispose que le 1er mai est jour férié et chômé.

    1. Merci Sissi, j’avais fait la recherche l’an dernier et écrit dans mon billet.

      Je trouve ce rappel très complet fort sympa. 

      Bonhuer pour toi ma belle

      Bises

  4. Bon je prends ton brin de muguet car tu seras surement la seule à m’en offrir aujourd’hui 🙂

    Bisous !!!!!

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